Un premier pas vers une petite victoire ? Avoir la confiance de Pilouface sera long mais tu y vas progressivement. Y'a juste un passage où j'ai été bloquée dans ton résumé : la première phrase. Tu fais beaucoup de choses à ce moment là et tout ça tu le décris dans une seule et même phrase. Ca fait donc assez long... Raccourci un peu (sans pour autant exagéré car après plein de phrases courtes ça ne le fait pas), essaye d'éviter les répétitions... Et tes résumés seront encore plus simple à lire ^^

Confiance +6
Moral +5
Santé +5

Ethologie +5
Pts cavaliers +5

Arrivée au rond de longe, je fermai la porte et enleva le licol. Pilouface partie en bombe sur la piste et galopa toute son énergie. Pendant ce temps, je décrochais la longe du licol et laissa ce dernier a terre. La longe en main, le travail reprenait, je restais au niveau de son épaule tout en maintenant une pression sur les postérieurs avec la longe pour la faire avancer.


Evidement Pilouface n’avait que faire de mes indications et galopait sur la piste. J’étais très patiente, et lui laissa également le temps de se calmer et de passer dans un galop plus cool. Mais la petite alezane galopait toujours aussi vite. A croire qu’elle ne voulait pas avoir de contact avec l’Homme.

Mais je persistais, je voulais vraiment lui montrer que les humains pouvaient être bon et gentil avec le cheval. Je réussis à la bloquer et la faire changer de sens, mais comme la veille elle tourna bien entendue, mais la tête vers la barrière et les fesses vers moi. Elle ne voulait pas m’accorder sa confiance, c’était claire net et précis.

Tout en galopant à l’autre main, je vis qu’elle commençait à manquer de souffle et passa enfin dans un galop « plus cool ». Mais elle mit un long moment encore avant de pointer une oreille vers moi. Pas moins de six tours plus tard elle actionna sa mâchoire et baissa l’encolure la tête au niveau du sol et passa au trot.

Bon ! C’était le signe qu’elle voulait tout de même me rejoindre. J’arrêtais ma posture « agressive » en me tournant de trois quart et avança d’un pas. C’était ma façon à moi de lui faire comprendre que je voulais être son amie et non son ennemie. Exactement comme la veille.

Pilouface passa au pas et s’arrêta et me regarda un long quart d’heure, ce qui me semblait être des heures et des heures d’attente. Et enfin ses sabots se remirent en marche et elle vint vers moi. Et s’arrêta au niveau de mon épaule.

Je sourie de plaisir et me tourna vers elle. Pilouface me regardait et semblait totalement étonnée de ce qui lui arrivait. Je lui caressai doucement le bout du nez.

« C’est bien ma fille, c’est très bien. Maintenant montre-moi que tout ce travail aura servie a quelques chose. Je vais m’éloigner de toi, pour te montrer que ce n’est pas un piège mais pour te montrer que je veux vraiment être ton amie et non ton ennemies. »


Sur ces bonnes paroles je m’éloignai de quelques pas et attendit. Pilouface hésita quelques minutes et fini par me suivre comme mon ombre. Je m’arrête, elle aussi. Je tourne à droite, elle part à droite. A gauche, elle me suit. J’accélère, elle fait pareil. J’étais au ange, le contacte commençais progressivement à s’installer. Mais jusqu’à dire qu’on était de super méga bonne copine, faut pas non plus rêver.

Bon, pour plus de facilité et de sureté pour elle et moi je revins vers le centre du rond de longe et lui présenta le licol.

« Bon je sais que tu es habitué au licol et tout ce qui s’en suit mais je veux être sûr que tu l’accepte sans soucis. »

Je lui présenta et je m’attendais à ce qu’elle s’écarte de moi mais étrangement de bougea pas… Bon ben, elle devait être dans un bon jour, je ne sais pas. Je bouclai la boucle et raccrochai la longe.

« C’est bien ma fille je suis très contente de toi. » Je la caressai délicatement sur l’encolure et lui donna quelques flocons d’avoine et une carotte pour la féliciter. Et sortie du rond de longe et rentra au écurie.

Encore une fois, une bonne séance de mise en confiance pour Pilouface !

Confiance +8
Moral +5
Santé +5

Pts cavaliers +7
Ethologie +5

Une fois au rond de longe, je ferme minutieusement bien la porte et me dirige vers le centre sans tirer le moins du monde sur la longe. Je restais très à l’écoute de la demoiselle bien qu’elle avait une bougeotte incroyable, et pourtant j’en ai connu des chevaux traumatisés.

Cette fois ci elle garda le licol et je détache simplement la longe. Tout de suite Pilouface partie sur la piste, mais au petit galop. Elle ne me fessait pas totalement confiance, mais les progrès était là, elle m’a déjà salué au box, ce qui était un progrès énorme au bout de trois jours ensemble seulement et là elle ne partait pas dans un galop effréné mais un galop plus cool que les jours précédent. Pour moi c’est une bonne marque de confiance. Je la laissai galoper, tout en restant au niveau de ses épaules et en gardant une « pression » sur l’arrière main pour ne pas changer les habitudes et ce que vaut la technique « du lien ».

Le léger changement de cette séance est que je la fis changer de sens plus souvent que les derniers jours. A chaque fois, elle mettait la tête vers la barrière, les fesses vers moi à galopa dans l’autre sens. Une seule fois elle changea de sens en allant vers l’intérieur du rond de longe et les fesses vers la barrière. Heureuse de cette marque de confiance, même minime était déjà un pas impressionnant pour moi, et j’étais aux anges.


Pilou resta sur la piste un très long moment, vu qu’elle chargeait plus comme les autres jours, elle avait besoin de galoper plus longtemps, mais qu’à cela ne tienne, elle voulait galoper, ben ma fois elle galopera.

Je sentais dans son attitude qu’elle avait vraiment envie de faire confiance, elle était très intriguée par ma personne et même si elle resta un long moment sur la piste, elle tendit son oreille intérieure vers moi. Le premier signe était déjà là, mais de là à me faire confiance plus rapidement que les autres jours, je pouvais toujours rêvée.

Ce n’est qu’après plusieurs changements de sens dont deux la tête vers moi, elle actionna enfin sa mâchoire et passa au trot, deux tours plus tard, elle baisse la tête vers le sol et passa au pas.

Comme d’habitude, je me tourne de trois quart et m’éloigne de quelques pas et attendis. Pilou s’arrêta et me regarda quelques minutes. Elle devait sans doute se demander si c’était une bonne idée de me rejoindre une fois de plus. Mais c’est ce qu’elle fit. Une fois à ma portée, je me retourne très doucement pour la féliciter et lui donna des flocons d’avoines pour la récompenser.

Puis je m’éloigne de quelques pas et la jument me suivie sans hésiter. Peu importe la direction que je prenais, elle me suivait. Je jubilais tellement j’étais heureuse.

Je lui remis la longe au licol et tenta le tout pour le tout. Je m’approche doucement de son dos et posa mes mains au niveau de là où était posée la selle d’habitude, avec toujours la longe dans une main, pour pouvoir la gérer dans le cas où ça tournait mal. Pilouface me regardais d’un drôle de regard, ne sachant sans doute pas comment réagir, devait elle fuir ? Où me faire confiance ?

« T’inquiète ma fille, je vais simplement exercer une pression sur ton dos, mais je ne serais pas sur ton dos aujourd’hui, je veux juste m’assurer que tu me fais confiance. »

Pilou semblait rassuré d’une certaine façon, et détourna la tête. Puis tout doucement, j’appuie de plus en plus fort sur le dos jusqu’à me retrouver en suspension les jambes d’un côté, les bras tendue en appuie sur son dos. Je tenais quelques secondes de cette façon avant de relâcher la pression et de me retrouver pied joints à côté d’elle.

Je la caresse très fort, heureuse comme pas deux.

« Bravo, bravo bravoooooo c’est super méga trop bien ma fille je suis trèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèès contente de toi. » Je lui fis un gros bisou sur l’encolure, lui redonna quelques flocons d’avoine et sortie du rond de longe et rentra à l’écurie.

Un grand pas vient d'être fait dans la mise en confiance de Pilou !

Confiance +8
Moral +6
Santé +4

Pts cavaliers +7

Une fois au rond de longe, je ferme minutieusement la porte et me dirige vers le centre. Je décroche la longe du licol et à mon grand étonnement, Pilou resta près de moi. Tiens, tiens, tiens, c’est nouveau ça, en générale, elle part au galop à peine détachée… Je n’en reviens pas.

« Euh, ma cocote faut aller sur la piste et galoper jusqu’à ce que tu acceptes qu’on se fasse confiance, comme les autres jours, tu te rappelles ??? »

Pilou me regardai du coin de l’œil, puis semblant comprendre mes paroles elle partit sur la piste, d’abord au trot puis au galop. Ben ça aussi c’était nouveau, décidément j’allais de surprise en surprise aujourd’hui. Je sentais le coup monté à des kilomètres.

« Allez ma fille, tu es trop bizarre aujourd’hui, ce n’est pas normale. »

Par contre une fois sur la piste, elle ne décollait pas d’un pète, mais galopait cool comme la veille. Très régulièrement, je la fis changer de sens et à plusieurs reprises elle tournait sa tête vers moi quand elle changeait sa direction. J’en étais émue qu’elle accepte ma présence et qu’elle commence à me faire confiance.

Je voyais qu’elle allait mieux, et que ça allait mieux aussi avec moi. Au bout du huitième changement de sens elle pointait son oreille vers moi et pas moins de trois tours plus tard, elle baissa l’encolure et actionna sa mâchoire, comme si elle mangeait de l’avoine.

Très vite je me retourne de trois quart et m’éloigne d’un pas ou deux. Pilou s’arrêta, pris tout son temps pour me gauger, comme pour savoir si une fois de plus, j’étais digne de sa confiance. Puis de sa démarche chaloupée elle me rejoignit au centre du rond.

J’étais heureuse comme tout, le travail commençait à payer bien comme il fallait. Comme toujours je m’éloigne de quelque pas pour seller notre entente et la petite puce me suivie pratiquement sans hésiter.

Peu importe où j’allais, elle me suivait sans trop hésiter. Je me retourne la caresse sur le chanfrein et lui donne quelques flocons d’avoine pour la féliciter.

« C’est bien ma fille, tu commences à vraiment me faire confiance, c’est bien, mais le travail continue, on n’a pas encore fini. »

Je remis la longe au licol et je passai la longe par-dessus l’encolure comme pour en faire une rêne mais que d’un côté. Et comme la veille, tout en ayant une main sur la longe, je m’appuyais sur son dos progressivement jusqu’à être en suspension a plusieurs centimètres du sol. Puis très doucement je passai la jambe droite par-dessus la croupe et m’assoie doucement sur son dos. Je me mis bien en place au niveau du garrot, les jambes au niveau du passage de sangle.

Les jambes tombantes, sans la moindre pression, je caresse l’encolure de Pilou qui se braquait tout de même. Elle n’était pas rassurée et je le sentais. Mais elle ne fit aucun écart.

« Ca va ma fille ?? Pas trop perturbée ? C’est moi sur ton dos. »

De là où j’étais, je lui présentais quelque flocons d’avoine et en tournant la tête, Pilou les vit et les avalait goulûment. Je la félicitais chaudement, j’étais tellement contente. Mais je n’allais pas plus loin. Je restais encore quelques minutes sur son dos avant de descendre.

« Bravo, ma fille je suis top méga trop contente de toi ma biloute. » Je lui fis un gros bisou sur l’encolure, lui redonna quelques flocons d’avoine et sortie du rond de longe et rentra à l’écurie.

Une fois au rond de longe, je ferme la porte et me dirige vers le centre. Je décroche la longe du licol et comme la dernière fois Pilouface restait près de moi. Elle semblait heureuse à mes côtés. Et ne semblait pas vouloir s’éloigner de moi.

« Euh, ma cocote faut quand même travailler là. Je sais que tu me fais confiance mais j’aimerais tout de même être sûr pour la suite des opérations, tu comprends ?? Aller sur la piste et galoper et que ça saute... »

Pilou partis au pas tranquillement vers la piste. Avec l’aide de la longe je l’obligeais à embrayer le trot puis le galop. J’avais l’impression qu’elle ne voulait pas bosser, je devais la remettre en avant très souvent.

Tout aussi souvent que je devais la remettre en avant, je la fis aussi souvent changer de sens que possible. Mais maintenant elle tournait la tête vers moi quand elle changeait de sens, preuve de sa confiance envers moi.

Cette séance fut très rapide. En effet en à peine 10 minutes, elle pointait déjà une oreille vers moi et deux minutes plus tard, elle baissa la tête jusqu’à frôler le sol et actionna sa mâchoire comme pour manger de l’avoine.

Aussi je la laisse, et me détourne d’elle. Deux minutes plus tard, Pilou était à mes côtés et me regardait, heureuse d’être à nouveau à mes côtés.

« Bravo ma fille, je suis très fière de toi. » Je lui caresse l’encolure et lui donne des flocons d’avoines pour la féliciter.

Puis comme les autres séances, je remis la longe au licol et monte sur son dos en toute délicatesse. Pilou ne broncha pas d’un poil. Je lui caresse l’encolure pour la féliciter une fois de plus.

« Ca va ma fille ??? Pas trop tendue et perturbée ? »

Elle me regardait en se demandant bien que je lui voulais.

Bon ça avait l’air d’aller, je me mis bien en place sur son dos et cette fois je serais les jambes pour la faire avancer. D’abord elle ne voulait rien savoir, et pourtant j’étais délicate.

« Ben alors, qu’est ce qui t’arrive toi ?? Avance cocote, aller hue. »

D’un coup, elle avançait au pas tranquillement… Euh, qu’est-ce que ça voulait dire ??? Elle n’était pourtant pas une jument de western qui parlait cow boy que je sache ??? Je tentais une autre phrase

« WWOOOOOOW là »

Pilou s’arrête… « Hue cocotte ». Elle repart au pas… Euh pourquoi personne ne m’as rien dit ??? Ce n’était pourtant pas préciser dans sa fiche… Bon je retente quelques choses d’autre.

« Allez remue toi un peu. »

Ma petite jument alezane pleine de surprise se met au trot… Mais c’était trop beau pour être vrai, je sentais un mauvais coup. Pour l’instant le trot était plutôt tranquille.

Mais d’un coup elle leva les fesses et partie en ruade… En était à crue, évidement je n’avais pas beaucoup d’équilibre et très vite me retrouve les fesses dans la poussière.

Bon ça c’est fait. Me voilà les fesses dans la poussière. Je me relève tant bien que mal pendant que la louloute continue ses cabrioles.

« WWWOOOOOOOW ma fille, là, tout vas bien. »

Aussitôt, Pilou s’arrête et me regarde en se demandant ce que je fessais à côté d’elle, alors qu’il y a deux minutes même pas j’étais sur son dos. Bon aller, je me remets « en selle », façon de parler vue que j’étais à cru et je repris le travail.

« Hue cocotte. » Elle se remet au pas. « Allez remue toi un peu. » Et nous revoilà au trot. Je la laissai trotter librement un petit moment. Avant de la remettre au pas… Mais à sa façon.

« WOOOOOW là. » Aussitôt, Pilou pila et m’y attendant je restais bien en arrière. Je la félicite bien et descendis. Je lui donne quelques flocons d’avoines pour la féliciter et sortie du rond de longe.