J'arrivais eprché sur le dos de Constantinople. On n'était pas encore sorti de l'Elevage. Soudain, l'alezane parti pleine balle sur un chemin. Je me penchais sur l'encolure de ma monture et m'agrippais à sa crinière feu. La jument galopais, poussant sur ses postérieurs et agrippant le sol de ses antérieurs. Une véritable sensation de liberté et de rapidité m'envahit. Le paysage défilait à toute allure. Soudain, Constantinople décocha une ruade. Je m'agrippais encore plus à la crinière de la jument. Finalement, je terminais sur le garrot de ma monture, un peu sonné. Puis, d'elle même, Constantinople ralentit dans un trot moyen. Nous étions dans un monde d'eau. Des cascades coulaient, de petits ruisseaux coulaient le long du chemin, et le reste était seulement chemins de pierre et étendue d'eau. Je mettais pieds à terre et passais les rênes par dessus la tête de l'alezane. La jument en profita pour baisser l'encolure et boire un peu, en m'éclaboussant le pantalon et les bottes.

"Bien joué madame ! Maintenant, je vais être mouillé, et toi aussi bientôt !"

Je soupirais et repassais les rênes par dessus al tête de la jument. En prenant mon élan, je sautais et passais une jambe par dessus ma monture. Par chance, j'étais sur son dos. Bon, très bien. Je prenais les rênes longues et guidais Constantinople sur le chemin de roche mouillé. Quand je sentis que l'alezane fatiguait un peu, je la mettais au trot et lui faisait faire demi-tour. Elevage, nous voilà !