Bonjour! Je m'appelle Samuel Murray mais mes amis me surnomment Sam. Je suis né(e) à Budapest le 09/01/1994 et de ce fait j'ai donc 19 ans. Côté coeur, je suis Célibataire, sachant que mon orientation sexuelle est Bi-Sexuelle. Je suis une personne qui agit sans réfléchir. On dit que la faim justifie les moyens, si je veux quelque chose je ferais tout pour l’avoir tant que c’est matériel, je suis aussi fier, gentil, loyal; mais aussi Fêtard, franc, confiant en soi, Têtu.

« Deux jeunes ont été trouvé grièvement blessé hier soir dans la cour d’ancien entrepôt désinfecté. Lorsque les secours sont arrivé, la fille Amayelle Davis était morte alors que le jeune homme qui l’accompagnait Samuel Murray était dans un état instable et les secouristes ne savait pas si il allait passer la nuit. Aucun suspect n’a été arrêté, mais la police recherche toujours un ou plusieurs coupables.
Des traces de luttes ont été trouvées, les enquêteurs n’attendent que le réveille du jeune homme pour avoir sa version des faits…. »
Cette annonce sur le journal télévisé me réveilla.  Je ne me souvenais de rien et j’avais tout de suite demandé où elle était car elle n’était pas à mon chevet comme elle l’aurait fait d’habitude. Un silence gênant s’était installé dans la chambre d’hôpital. Il fut interrompu par l’entrée d’un homme vêtu d’un costume sur mesure coûtant une fortune. Il m’accusa d’avoir tué sa fille unique, j’étais déconcerté je ne savais même pas qui était sa fille. Ma mère ce leva de sa chaise et se mit entre moi et l’homme, elle avait dû pressentir que j’étais prêt à sauter à la gorge du type qui m’accusait d’un crime que je n’avais pas commis.
Quand à l’expression de l’homme, elle changea littéralement. A sa tête j’étais sûr que lui et ma mère ce connaissaient, mais d’où ? Je ne sais point…
Les questions ce bousculèrent dans ma tête me donnant un mal de tête assommant. Une infirmière entra juste avant que je ne sombre dans les méandres de l’inconscience, cette fois si j’eu un rêve :
Le sang passait à travers mes doigts, la blessure en elle-même n’était pas douloureuse. Mon esprit était plutôt occupé à essayer de savoir où elle était. Nulle part… La panique s’empara de moi et je me découvris de nouvelle force. En titubant, je me dirigeais vers la porte de sortit et la poussais avec difficulté. Elle était là dans la cours, la face contre terre et dans une mare de sang.  Je tombais à genoux dans cette dernière et retournais le corps. Ses traits semblaient paisibles même si ses yeux grands ouverts étaient emplies de terreur. Avec lenteur je lui fermais les yeux et la prit dans mes bras pour essayer de lui faire recouvrir sa chaleur d’antan.
Je suis alors ce qui c’était passé et maintenant elle ne serait plus jamais là…