Fabrice, assis sur le dos de Clovis, marchait depuis quelques temps sur le chemin de balade. Il avait prit des reines assez longues, sans pour autant les tenir par la boucle d'attache. Le jeune homme sentit soudain que son petit protégé s'enfonçait dans quelques chose de mou. Il jeta un coup d'oeil au sol et vit qu'ils s'enfonçaient dans du sable. D'ailleurs, d'un son lointain, on pouvait entendre l'écume des vagues lécher puis s'écraser sur le sable. Le brun lança alors son cheval au galop, attrapant une poignée de crins. Il se sentait tellement bien, même au galop, sur le dos de Clovis. Le gros nounours n'avançait pas si vite que ça, mais, il était agréable d'être sur son dos, avec ses allures souples. Fabrice sourit et laissa ses bras suivre le mouvement de l'encolure de l'étalon. Quand il aperçu la mer, il ralenti sa monture et se dirigea au pas vers l'eau. Au premier abord, le cheval baissa son encolure pour sentir l'eau et le jeune homme le laissa faire. Puis, quand il senti son petit protégé en totale confiance avec l'eau, le brun fit avancer sa monture dans l'eau salée. Quand Clovis n'eut plus pieds, Fabrice le fit revenir vers la berge. Quand l'étalon ré-eut pieds, il descendis du dos confortable de sa monture, sans lâcher les reines, et nagea un peu, sans lâcher les reines. Puis, quand le jeune homme ré-eut pieds, il remonta sur le dos confortable du gros nounours et reprit des reines. Le couple ne mit pas longtemps à atteindre le banc de sable et, dès que l'entier fit un pas sur le sable, le brun le mit au trot, histoire de faire un peu de trot, aussi. D'ailleurs, Fabrice lâcha presque les reines, ne les tenant plus que par la boucle, pour que Clovis profite bien de son encolure. Après vingt minutes au trot, le jeune homme remit sa monture au pas, puis, sa laissa glisser, même tomber sur le sable. Il eut un sourire, puis, attrapa les reines du cheval et rentra à pieds.